Série sur Jean (Jean 3:1-13)

Le miracle d’une vie nouvelle

Introduction :

Si vous avez une bible, je vous invite à l’ouvrir en Jean chapitre 3. Le texte que nous étudierons aujourd’hui va du verset 1 au verset 13.

J’ai intitulé mon sermon «  le miracle de la naissance ! »

Avons-nous des parents parmi nous aujourd’hui ?

Vous rappelez-vous des détails de la naissance de vos enfants ?

Il y a beaucoup de choses qu’on vit, qu’on apprend, qu’on voit et qu’on oublie dans la vie, mais la naissance de nos enfants n’en est pas une.

Si je vous demandais la date d’anniversaire de vos grands-mères ou de votre meilleur ami, pourriez-vous me la dire ? Probablement pas.

Si je vous demandais de me dire ce que vous avez fait lors de votre 16ième anniversaire, pourriez-vous vous en souvenir ?

Mais on n’oublie pas l a naissance de ses enfants et ses détails. Je parie que les parents se rappellent presque tous de l’heure du jour, de l’endroit, du nom du docteur, des circonstances,…

Pourquoi ? Parce que c’est quelque chose de merveilleux, de très fort. Aucun père ne souhaite rater ce moment.

Mon frère avait un mot pour me le décrire au téléphone, savez-vous lequel ? Miracle ! Il ne pouvait l’exprimer autrement, il disait : « c’est comme un miracle ! »

Je parie que vous êtes d’accord, n’est-ce pas ?

J’ai voulu pousser la chose dans l’église où je prêchais avant et j’ai demandé à certains papas de décrire ce qu’ils ont ressenti à la naissance de leurs petits.

Voici ce qu’ils m’ont remis :

« Dans la voiture en direction pour l’hôpital, mon épouse Donna était calme. Elle s’était préparée à cela depuis un bout de temps. Le moment venu, elle m’a réveillé après m’avoir laissé dormir au maximum. Tout était prêt. J’avais juste à la conduire.

En entrant dans la voiture, j’étais nerveux et anxieux. Je pouvais à peine conduire. Donna avait de plus en plus mal. Je me sentais coupable, car elle avait tellement mal et moi tout ce que je pouvais faire, c’était d’être là comme un spectateur.

Et puis nous sommes arrivés en salle. Tout allait si vite. Je me demande si mon corps aurait supporté tout ce qu’elle supportait héroïquement. Lorsque j’ai vu sortir mon fils, j’ai pleuré et ressenti une joie immense. J’étais fier et soulagé. Donna avait survécu et notre fils était si beau. Quelle chance j’avais ! Un petit garçon si parfait, si beau ! Le Seigneur venait de me bénir avec un nouveau petit être, un fils qui serait ma fierté.

Lorsque je l’ai pris dans les bras, il a comme accepté ma voix, mes caresses, mon contact. Jordan serait son nom et pour toujours, je serai son père ! »

Voici un deuxième témoignage :

« Alors que je repense à ce jour il y a 16 ans, des larmes me viennent aux yeux. C’était un événement merveilleux. Je ressentais un mélange de sentiments profonds et puissants qui faisaient battre ma poitrine. Pendant 9 mois, j’avais attendu. Durant des minutes interminables, j’avais encouragé mon épouse dans sa douleur et son anxiété. Les marques de ses ongles rougeoyaient sur mes poignets. Mon estomac était sans dessus dessous à cause de la peur que j’avais ressenti. Encore et encore, je m’étais demandé si tu serais en bonne santé et bien formé. Et là tu venais de sortir. Quelle joie inexprimable, je ressentais dans le cœur. J’étais émerveillé par ce que je venais de voir. Tu étais apparu et tu étais en tout point plus beau que ce que je pouvais espérer. Tu étais parfait, un tout petit bébé créé à partir de rien. Tu étais mon cadeau de Dieu, une petite âme pure, jolie, confiée à mes soins. Je voulais juste te serrer, te bercer et t’embrasser, pour toujours. Ta naissance était un événement merveilleux. »

Je vous dis aujourd’hui que la naissance d’une nouvelle vie est un miracle, une bénédiction extraordinaire. D’où le titre de mon sermon, le miracle d’une naissance.

Si vous vous demandez ce que tout cela à avoir avec ma leçon aujourd’hui, prenez vos bibles et lisez avec moi le passage en Jean 3. « … »

Vous voyez que le thème de ce passage est la nouvelle naissance en Christ. Je veux donc développer le sujet, mais pour le faire, laissez-moi d’abord remettre les choses dans leur contexte.

Jésus vient de fêter la Pâque à Jérusalem, il a retourné les tables des vendeurs et a confronté les dirigeants du temple. Il a déjà enseigné de nombreuses personnes et a fait plusieurs miracles. Dans un sens, c’est un peu comme la fin d’une conférence qui visait à réveiller les gens spirituellement. Jésus vient donc de se retirer pour la nuit.

Mais un homme, nous dit Jean, vient à lui. Son nom est Nicodème.

Qui est Nicodème ?

I. Le personnage :

A. Un pharisien :

Regardez au verset 1. La première information qu’on lit sur lui, hormis son nom, est sa préférence religieuse. Il s’agit d’un Pharisien.

Qu’est-ce qu’un Pharisien ? C’est un juif bien sûr, mais avec des convictions particulières.

Ce qu’il faut savoir, c’est que les juifs sont comme tous les autres en matière de religion. Ils sont divisés. Tout comme nous avons dans le christianisme, ceux qui croient à la prière à la vierge Marie, ceux qui n’y croient pas, ceux qui croient au célibat des prêtres et ceux qui n’y croient pas, ceux qui croient aux instruments de musique et ceux qui n’y croient pas, les juifs avaient différentes opinions concernant la foi.

Il y avait donc plusieurs groupes juifs, les Sadducéens, les Pharisiens, les Hérodiens, les zélotes, les Essènes et encore bien d’autres.

Les pharisiens étaient parmi les plus dévoués, mais ils avaient une vue très stricte des choses. On les connaissait aussi sous le nom de Chaburah ou sous l’appellation, la Confrérie.

Il faut savoir que leur groupe n’acceptait que 6000 hommes dans leur ordre. Ce nombre restreint leur permettait de trier et de choisir seuls les meilleurs éléments masculins de leur nation.

Pour entrer dans cette confrérie, lors de l’initiation, un homme devait jurer devant trois témoins qu’il passerait tout son temps dans la vie à observer chaque détail de la loi des scribes et il y avait beaucoup de détails dans cette loi.

Les pharisiens avaient un nombre inimaginable de règles et de traditions qui gouvernaient chaque action, qui définissait une ligne de conduite dans chaque situation.

Par exemple, il y avait celles sur le Sabbat. La bible disait ceci sur le sujet en Exode 20 :8-10 « … » C’était simple, mais les juifs avaient passé des générations entières à définir ce que ce commandement signifiait.

Le Talmud, qui est un livre contenant les règles rabbiniques des pharisiens, contenait 24 chapitres sur la question. Le commentaire sur ces chapitres remplissait 156 feuilles recto verso. Un document historique nous rapporte qu’un rabbin a un jour passé 2 ans et demi de sa vie à étudier un seul de ces chapitres.

Certaines de ces règles sont toujours d’application aujourd’hui en Israël. Lisa, qui était ici il y a une semaine, nous a rapporté cela, suite à un voyage dans ce pays. Il parait que les ascenseurs fonctionnent différemment le samedi. Ils s’arrêtent automatiquement à chaque étage. Pourquoi ? Parce qu’autrement on peut considérer qu’un homme lève une charge lorsqu’il pousse sur le bouton d’un étage.

C’est idiot, n’est-ce pas ? C’est une mauvaise application d’une loi qui était donnée dans la bible pour éviter qu’on ne porte des marchandises pour faire un marché le sabbat. Regardez en Jérémie 17 :21-24 : « … »

Savez-vous que les juifs vont jusqu’au point de dire qu’une femme ne peut porter une broche, qu’un handicapé ne peut porter une prothèse ou qu’un vieillard ne peut porter un dentier le samedi ? Même sur ces sujets, il y a des débats.

Des règlementations définissaient, dans l’Antiquité, la quantité de nourriture qu’on peut porter sans considérer qu’un homme ne travaille. La réglementation dit qu’une charge acceptable le samedi était l’équivalent du poids d’une figue séchée, du contenu d’un verre de vin, d’une gorgée de lait, d’une coupe d’huile pour oindre la tête.

Bien sûr, les Pharisiens étaient les premiers à promouvoir ces lois et à les pratiquer.

Le nom Pharisien à lui seul voulait tout dire. Il signifiait les séparés, cad. Ceux qui choisissaient de se tenir écarter des choses de la vie de tous les jours pour se concentrer uniquement sur l’observation des détails de la loi rabbinique.

Voila à qui nous avons affaire, lorsque nous lisons le nom de Nicodème. Il était Pharisien, un séparé.

C’est étonnant qu’un tel homme vint à Jésus, n’est-ce pas ? Après tout, Jésus opposait toutes ces traditions.

Mais ceci dit, n’oublions pas que les Pharisiens faisaient ce qu’ils faisaient par amour pour Dieu. Ils aimaient vraiment l’Eternel, ils le craignaient, ils l’honoraient. Mais le problème, c’est qu’ils étaient mal guidés.

B. Un membre du Sanhédrin :

La deuxième chose que nous apprenons sur Nicodème est qu’il était un des chefs juifs, toujours au verset 1.

Ce terme signifie qu’il était un membre du Sanhédrin. Il avait donc de l’importance, de l’argent et il était puissant.

Comme je l’ai déjà dit, le Sanhédrin était une cour composée de 70 anciens, 70 hauts juges juifs. Ces hommes présidaient à la cour suprême. Seul le roi et le haut prêtre étaient au-dessus d’eux.

Le Sanhédrin avait juridiction sur les juifs dans le monde entier. Sa puissance était un peu limitée durant l’occupation romaine, mais elle était tout de même considérable.

Nicodème faisait donc partie de l’élite. Il faisait partie de l’aristocratie. Les gens allaient d’habitude à lui pour des conseils et réponses, pas l’inverse. Il est intéressant qu’il choisît dans ce cas, d’aller à Jésus. D’habitude les gens de sa condition avaient trop de fierté pour se mettre dans cette position.

Il y avait quelque chose d’humble en lui.

Alors je vous le demande, pourquoi choisit-il d’aller poser une question spirituelle à Jésus ?

Le verset 2 nous donne la réponse. Parce qu’il voyait Jésus comme un rabbin, comme un maître envoyé par Dieu. Il le reconnaissait comme un prophète, parce qu’il avait vu ou entendu parler des miracles du Christ.

Aujourd’hui, je vous le dis, si vous réalisez qui est vraiment Jésus et que vous voyez ce qu’il peut faire, vous ne pourrez vous empêcher de venir à lui pour trouver les réponses à ce qui vous tracasse.

Peu importe ce que vous savez, peu importe combien vous gagnez, peu importe qui vous considère comme un gourou, quand vous comprenez qui est Jésus, c’est vers lui que vous vous tourner pour des conseils.

La réponse aux grandes questions n’est pas en nous, mais en lui.

Même si on pouvait rencontrer l’homme le plus éduqué au monde, le plus sage, le plus intelligent, le plus diplômé, il ne serait pas capable de nous donner le 10ième des conseils de Jésus. Le réalisez-vous aujourd’hui ?

II. La préoccupation de Jésus :

Ceci dit, revenons au texte. La réponse du Christ est intéressante face à Nicodème.

Nicodème vient de dire : « Jésus, je sais que tu viens de Dieu, Je sais que tu n’es pas une arnaque ! » Jésus pourrait répondre : « Merci Nic, j’apprécie ta confiance, tes mots encourageants, surtout à cause de ce que cela implique venant de toi ! Tout ce que ça peut te coûter, si on considère ce qu’en pense tes compagnons au Sanhédrin ! » Mais ce n’est pas ce que Jésus répond.

Christ ne perd pas une seconde en paroles inutiles. Il voit une ouverture et il rentre dans le vif de ce qui est important. Il va droit au cœur de façon à ce que Nicodème ne puisse rater l’essentiel.

Je dis cela car les trois premières secondes, selon les psychologues, sont les plus importantes pour faire une impression lorsqu’on rencontre quelqu’un. Jésus utilise ces trois secondes pour dire quoi ? Regardez de nouveau à ses paroles : « … » v. 3

Plus que tout, que veut Jésus ? Le salut de celui qui vient à lui. Il veut la vie éternelle pour chaque homme, chaque âme qui est prêt à l’écouter.

En passant, ne devrais-je pas moi aussi avoir avant tout cette préoccupation ? Quelle est la chose la plus importante à mes yeux ? Aller au ciel et y envoyer tout ceux que je peux ?

Mais comment Jésus présente-t-il la chose ?

Avec une mise en garde, nul ne peut voir le royaume de Dieu, s’il ne nait de nouveau.

C’est des mots durs, des mots difficiles à avaler.

Pas de naissance, pas de paradis, pas de naissance, aucune place avec Dieu !

Ecoutez bien. Vous êtes peut-être comme Nicodème aujourd’hui. Vous êtes peut-être quelqu’un de puissant, de riche, d’intelligent, vous êtes peut-être quelqu’un qui est extrêmement religieux et qui fait son mieux pour servir l’Eternel, mais si vous n’êtes pas né de nouveau, vous ne pouvez aller au ciel.

Ce n’est pas moi qui le dit, c’est Jésus ! Il n’y a pas de « Mais, peut-être que… ou de pourtant... »

Nicodème connaissait les Ecritures, il était dévoué, il faisait partie de l’élite, mais s’il n’était pas prêt à obéir à ce commandement, il ne parviendrait pas au paradis.

Peut-être je comprends mal, mais je ne pense pas, qu’en dites-vous ?

Ça m’attriste pour nos parents, pour nos amis, pour nos proches, mais l’enseignement de Christ est assez clair. Je voudrais qu’il en soit différemment, mais ce n’est pas moi qui fixe les règles.

Si Jésus était ici que nous dirait-il ? Changerait-il son message ? Si je voulais savoir ce qu’il me faut faire pour aller au ciel, il me répondrait qu’il faut naître de nouveau ou périr. Nous connaissons donc à présent la condition pour recevoir entrée dans le royaume de Dieu.

III. Naître de nouveau :

Mais parlons un peu de comment naître de nouveau.

Que signifie ce terme ? Il y a quelques années un journaliste chrétien s’est vu interpellé par un de ses collègues non-croyants, qui lui a demandé : « Carl (Thomas), tu es un chrétien né de nouveau, n’est-ce pas ? »

Ce journalise croyant a répondu : « ça dépend, que veux-tu dire par un chrétien né de nouveau ? »

L’athée n’avait aucune idée. Il avait entendu des gens utiliser ces termes, mais il ne savait pas ce qu’ils signifiaient.

Nous utilisons souvent des termes en matière de religion, mais souvent nous ne les expliquons pas, parce que nous ne les comprenons pas.

Le terme « de nouveau » dans le grec est « anothen ». Il peut signifier trois choses :

Les traducteurs ne pouvaient trouver un mot français qui reprenait ces trois significations, donc ils ont choisi l’une ou l’autre option.

Quand Nicodème a entendu les paroles de Jésus, il semblerait qu’il l’ait compris au sens premier. C’est pour cela qu’il va dire, « Comment un homme peut-il naître de nouveau ? Peut-il entrer une nouvelle fois dans le sein de sa mère ? »

Jésus va donc expliquer ce qu’il veut dire. Verset 5, être né de nouveau, selon lui, c’était naître d’eau et d’Esprit.

Certains disent qu’il s’agit d’un renouveau spirituel. Ils ont raison, mais comment ce renouveau vient-il ? Ce n’est pas seulement par rapport à l’esprit que Jésus demandait qu’on soit né de nouveau. Le terme de nouveau s’applique aux deux, à l’eau et l’esprit.

Si je laisse la bible expliquer la bible, je vois comment les apôtres que Jésus enseigna le comprirent. Regarder en Actes 2 :38, puis en Hébreux 10 :20-21, puis en Tite 3 :4-5 « … »

Les choses ne sont-elles pas simples à comprendre quand on laisse les Ecritures parler pour elles mêmes ? Comment ne pas faire le lien ? En essence les gens, au jour de la Pentecôte, ont posé la même question que Nicodème et Pierre a donné la même réponse que son maître, le baptême et le don du Saint-Esprit donnaient la nouvelle vie.

Jésus disait donc à Nicodème : « Nic, garder les commandements de Dieu, ce n’est pas suffisant. Etudier la Parole et prier tous les jours, ce n’est pas assez ! Tu dois être purifié de tes péchés et tu as besoin de la puissance de mon Esprit pour vivre une nouvelle vie. Tu as besoin de faire l’expérience des eaux du baptême. »

Donc aujourd’hui, par extension, je vous dis que c’est ce dont nous avons tous besoin. ??

Et oh, quelle merveille lorsqu’un homme accepte de naître de nouveau, quel miracle !

Dieu regarde de là haut avec toute la tendresse d’un père qui assiste à la naissance d’un fils ou d’une fille.

Les anges se réjouissent et quand un sujet comme cela est prêché, j’imagine qu’il regarde de sa fenêtre dans le ciel avec anxiété se demandant qui répondra à son appel.

Aujourd’hui ressentira-t-il l’excitation, la joie, l’émotion que Greg ou Mike ont ressentie et dont ils nous ont parlé en écrivant leur lettre ?

Je n’ai pas le temps de tout voir en détail dans ce texte, mais je voudrais dire que le concept que Jésus présenta à Nicodème ne devait pas être si difficile à comprendre pour Nicodème.

Vous voyez les rabbis enseignaient que lorsqu’un homme d’une autre foi voulait se convertir au judaïsme, il devait faire trois choses : 1) se faire circoncire, 2) offrir un sacrifice, 3) être immergé. Ensuite, selon leur enseignement, cet homme devenait un enfant nouveau né.

Le changement était supposé être si radical qu’en théorie il était soutenu qu’il pouvait marier sa mère ou sa sœur. Tous les liens précédents étaient brisés, tout repartait à zéro.

Les grecs aussi connaissaient ce principe. Ils avaient une cérémonie de renouveau qu’ils appelaient le Taurobilium.

Durant cette cérémonie, les candidats au renouveau étaient mis dans un trou. Puis on mettait une grille au dessus d’eux pour couvrir le trou. On y plaçait un taureau qui était sacrifié à cet endroit. La gorge était tranchée, le sang coulait vers le bas en travers la grille sur le candidat. L’initié levait alors les bras, sa tête et se lavait dans le sang. En ressortant, il était supposé être né de nouveau pour l’éternité. A certains endroits, on donnait ensuite du lait à ces hommes pour bien montrer qu’ils étaient des nouveaux-nés.

Conclusion :

Je suis à court de temps. Je m’arrête donc ici et je vous demande de répondre avec attention à ceci :

« Voulez-vous un nouveau départ aujourd’hui ? Voulez-vous changer ?

Avez-vous fait des choses qui vous tiennent encore éveillées les nuits ? Vous détestez-vous ?

Vous êtes peut-être ici et vous pensez qu’il est absolument nécessaire de trouver un renouveau, mais en entrant ici vous ne saviez pas comment.

Laissez-moi vous dire, ce n’est pas impossible. Ecoutez ce que dit Jésus ! Vous pouvez devenir une nouvelle création, vous pouvez redevenir un petit enfant de nouveau. Tout ce qu’il faut faire c’est naître d’en haut.

Répondrez-vous à son appel aujourd’hui ? Partirez-vous d’ici changé de part et d’autre ou en faisant semblant de ne pas comprendre comme Nicodème ?